Je m’appelle Kylian, un homme d’origine asiatique de 55 ans, conseiller en investissement de métier. Je vis en union libre et je suis de petite taille avec une corpulence modeste. Je suis doté d’une bite légèrement au-dessus de la moyenne, légèrement courbée vers le haut et non circoncise. Je suis hétérosexuel et j’ai un faible pour le voyeurisme et les femmes aux fesses rebondies et aux seins volumineux.

Cet été, je décide de séjourner dans une magnifique maison de vacances située en bord de mer. C’est là que je fais la connaissance de Marianne, une femme qui possède toutes les caractéristiques physiques qui m’attirent particulièrement. Elle a des fesses rebondies, des seins volumineux et une silhouette de rêve. Dès que je la vois, je sens mon chibre se dresser dans mon pantalon et je suis immédiatement séduit.

Au fil des jours, je développe une attirance pour Marianne et je décide de la séduire en utilisant mes fantasmes de voyeurisme. Je mets en place des jeux coquins pour l’observer discrètement et éveiller son désir. Je me mets à l’espionner quand elle se douche, je mate ses courbes généreuses à travers les fenêtres de sa chambre et je me branle en pensant à elle.

Un soir, je décide de passer à l’action. Je l’invite à prendre un verre chez moi et je lui fais comprendre que je suis attiré par elle. Je la regarde dans les yeux et je lui dis : « Tu es une vraie chaudasse, Marianne. J’ai envie de te baiser et de te faire jouir comme jamais. »

Marianne semble intriguée et séduite par mes paroles. Elle accepte mon invitation et je sens que la soirée va être chaude. Je me prépare en mettant de la musique sensuelle et en allumant des bougies pour créer une ambiance intime. Je lui sers un verre de vin et je commence à la draguer ouvertement.

Je lui dis : « Tu sais, Marianne, j’adore mater les femmes dans leur plus simple appareil. Ça m’excite énormément de voir leur chatte mouillée et leur cul rebondi. Et toi, tu as un corps de rêve. J’ai envie de te doigter, de te sucer et de te baiser comme une salope. »

Marianne semble surprise par mes paroles, mais elle ne résiste pas à mon charme. Elle se laisse aller et je commence à la caresser doucement. Je lui embrasse le cou et les épaules, je lui malaxe les seins et je descends ma main vers sa chatte. Elle est déjà mouillée et j’en profite pour la doigter doucement.

Je lui dis : « Tu aimes ça, hein, salope ? Tu aimes quand je te touche et que je te fais jouir ? Je vais te baiser comme une chienne et te faire hurler de plaisir. »

Marianne gémit de plaisir et je sens qu’elle est prête à se laisser aller complètement. Je lui enlève son haut et je commence à lui sucer les seins. Je les lèche, je les mordille et je les malaxe avec mes mains. Marianne est aux anges et elle me supplie de continuer.

Je lui dis : « Tu veux que je te baise, hein, chienne ? Tu veux que je t’encule et que je te fasse jouir comme une folle ? »

Marianne acquiesce et je la fais mettre à genoux sur le sol. Je sors ma bite de mon pantalon et je la présente devant son visage. Elle ouvre grand la bouche et se met à me sucer avec avidité. Je sens sa langue

### To be continued…

Dans la seconde partie de cette histoire, Kylian et Marianne vont poursuivre leurs ébats sexuels avec des positions encore plus osées et des actes de plus en plus hard. Kylian va réaliser tous ses fantasmes de voyeurisme en filmant discrètement leurs ébats et en les regardant en boucle. Marianne va découvrir de nouvelles sensations en se faisant sodomiser et en pratiquant le cunnilingus. Le plaisir sera à son comble et l’orgasme sera intense. Mais est-ce que leur relation va s’arrêter là ou est-ce que cela ne fait que commencer ? La suite dans la prochaine partie de cette histoire pornographique.Je sens l’excitation monter en moi lorsque Marianne commence à me sucer avec avidité. Ses lèvres chaudes et humides enveloppent ma bite et sa langue joue avec mon gland. Je gémis de plaisir et lui tiens la tête pour guider ses mouvements. « C’est ça, salope, suce ma bite comme une bonne chienne », lui dis-je en sentant mes couilles se resserrer.

Après quelques minutes de fellation intense, je décide de passer aux choses sérieuses. Je fais mettre Marianne à quatre pattes sur le sol et je contemple son cul rebondi et ses fesses charnues. Je me mets à genoux derrière elle et commence à lui doigter la chatte, excitée et mouillée. Elle gémit de plaisir et je sens qu’elle est prête à se faire prendre.

Je sors ma queue de mon pantalon et la place devant son anus. « Tu veux que je t’encule, salope ? », lui dis-je en la pénétrant doucement. Elle crie de surprise et de douleur lorsque je m’enfonce plus profondément en elle. Je commence à la sodomiser avec des mouvements réguliers, sentant mon chibre glisser dans son fion serré.

Je profite de cette position pour lui donner des claques sur les fesses, la faisant gémir de plaisir et de douleur. Je me sens dominateur et puissant, baisant cette femme comme une chienne en chaleur. Je la sens jouir, ses cris résonnant dans la pièce, alors que je continue à l’enculer sans relâche.

Après avoir joui, je sors ma bite de son cul et la contemple, recouverte de sperme. Je me branle quelques secondes devant elle, lui disant : « Tu veux goûter à mon foutre, cochonne ? Lèche-moi la queue. » Elle ne se fait pas prier et se met à me nettoyer la queue avec sa langue, avalant mon sperme avec gourmandise.

Je la fait ensuite se mettre sur le dos, les jambes écartées, et je commence à lui lécher la chatte. Je lui suce le clitoris et lui doigte le vagin, sentant son corps se tendre de plaisir. Elle jouit une nouvelle fois, sa chatte se contractant autour de mes doigts.

Je ne peux plus résister à l’envie de la baiser à nouveau. Je me place au-dessus d’elle et lui pénètre la chatte avec ma bite dure. Je la baise avec fougue, sentant son corps se mouvoir sous mes coups de rein. Je sens la chaleur de son corps et de sa chatte m’envelopper, me faisant perdre tout contrôle.

Je me retire brusquement et lui éjacule sur le corps, recouvrant ses seins et son ventre de mon sperme chaud. Je gémis de plaisir et m’allonge à côté d’elle, épuisé.

Nous nous reposons quelques minutes avant de reprendre nos ébats. Je lui demande de se mettre à genoux sur le lit et je me place derrière elle. Je lui écarte les fesses et commence à lui lécher l’anus, sentant son corps frémir de désir. Je la prépare doucement pour la sodomie, lui enfonçant un doigt dans le cul puis deux.

Lorsque je sens qu’elle est prête, je lui enfonce ma bite dans l’anus et commence à la sodomiser avec vigueur. Elle crie de douleur et de plaisir, sentant ma bite la pénétrer profondément. Je la baise ainsi pendant plusieurs minutes, me sentant au summum du plaisir lorsque je jouis à nouveau en elle, mon sperme se mélangeant à sa mouille.

Nous passons la nuit à nous caresser, à nous lécher et à nous pénétrer, explorant tous les recoins de nos corps. Nous nous endormons finalement, épuisés mais comblés.

Le lendemain matin, je me réveille avec une érection

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