Je m’appelle Constantin, un homme de 59 ans, métisse, grand et mince, pompier de profession. Je suis en union libre et j’assume pleinement mon orientation sexuelle hétérosexuelle. J’ai un faible pour les femmes aux courbes généreuses, celles qui ont des fesses rebondies et une poitrine opulente. Je suis doté d’un pénis de taille moyenne, légèrement courbé vers le haut, et je ne suis pas circoncis.
Ce soir-là, je me suis rendu dans une boîte de nuit réputée de la ville. L’ambiance était sulfureuse, les corps ondulaient sur la piste de danse, et je pouvais sentir l’excitation monter en moi. Je me suis dirigé vers le bar, commandant un whisky sec. Alors que je sirotais mon verre, mon regard a été attiré par une femme dont les courbes m’ont fait immédiatement fantasmer. Elle avait une robe moulante qui mettait en valeur ses fesses rebondies et ses seins généreux. Je ne pouvais détourner le regard.
Je me suis approché d’elle, sentant mon chibre se durcir dans mon pantalon. Elle a tourné son regard vers moi, ses yeux pétillants de désir. Je lui ai souri, lui tendant la main. « Je m’appelle Constantin, » je lui ai dit, ma voix rauque trahissant mon excitation. « Et toi? »
Après avoir échangé quelques mots, je lui ai proposé un rendez-vous coquin. Elle a hésité un instant, puis a accepté, un sourire coquin se dessinant sur ses lèvres pulpeuses. Nous avons quitté la boîte de nuit et nous nous sommes dirigés vers un hôtel à proximité. J’ai senti mon cœur battre de plus en plus fort alors que nous montions dans l’ascenseur, mon esprit anticipant la nuit de plaisir qui nous attendait.
Une fois dans la chambre, je l’ai attirée vers moi, l’embrassant avec passion. Nos langues se sont entremêlées, nos mains explorant nos corps respectifs. Je pouvais sentir sa chatte mouillée à travers sa robe, et j’ai su que j’avais eu raison de l’aborder. Je l’ai poussée sur le lit, me mettant au-dessus d’elle. J’ai commencé à embrasser son cou, descendant lentement vers ses seins. Je les ai libérés de leur prison de tissu, suçant et mordillant ses mamelons qui durcissaient sous ma langue.
Elle a gémi de plaisir, ses mains agrippant mes cheveux. Je me suis déplacé plus bas, embrassant son ventre, descendant until j’ai atteint sa chatte mouillée. J’ai écarté ses jambes, admirant sa chatte lisse et humide. Je l’ai doigtée, sentant ses parois se resserrer autour de mes doigts. Elle était prête, et je pouvais à peine contenir mon excitation.
Je me suis déshabillé, sortant ma queue de mon pantalon. Elle a regardé avidement, léchant ses lèvres en anticipation. Je me suis mis à genoux devant elle, guidant ma bite vers sa chatte mouillée. Je l’ai pénétrée lentement, savourant la sensation de ses parois chaudes et humides autour de ma queue. Elle a gémis, ses ongles s’enfonçant dans ma peau.
J’ai commencé à la baiser, mes coups de reins devenant de plus en plus rapides et violents. Je pouvais sentir son plaisir monter, ses gémissements devenant de plus en plus forts. Je lui ai ordonné de se mettre en levrette, voulant explorer chaque recoin de son corps. Elle a obéi, se mettant à quatre pattes sur le lit, son cul rond et ferme offert à moi.
J’ai commencé à la baiser en levrette, mon chibre glissant facilement dans sa chatte mouillée. Je pouvais sentir mes couilles claquer contre ses fesses, augmentant mon excitation. Je l’ai enculée, ma bite glissant dans son anus serré. Elle a crié de surprise, puis a gémis de plaisir alors que je commençais à la sodomiser. Je pouvais sentir mon orgasme arriver, mes couilles se resserrant.
Mais avant que je ne puisse jouir, je me suis arrêté, voulant prolonger le moment. Je l’ai allongée sur le dos, écartant ses jambes. Je me suis mis entre ses cuisses, guidant ma queue vers sa chatte mouillée. Je l’ai pénétrée lentement, nos regards se croisant. Je pouvais voir le désir brûler dans ses yeux, et je savais que j’allais la faire jouir encore et encore.
Je l’ai baisée lentement, savourant chaque coup de rein, chaque gémissement. Je pouvais sentir sa chatte se resserrer autour de ma queue, son plaisir augmentant. Je l’ai sentie jouir, ses cris remplissant la chambre. Je me suis retiré, aspergeant son corps et son visage de mon sperme chaud. Elle a gémi, sa main allant vers sa chatte, se caressant alors que je jouissais.
Je me suis allongé à côté d’elle, rassasié mais pas encore complètement satisfait. Je savais que la nuit était encore jeune, et que nous avions encore beaucoup de choses à explorer. Je me suis retourné vers elle, prêt à recommencer. Mais avant que je ne puisse dire un mot, elle a souri, ses mains se déplaçant vers ma bite encore dure. « Tu es sûr d’avoir assez d’énergie pour un autre round? » elle a demandé, un sourire coquin se dessinant sur ses lèvres.
Je lui ai souri en retour, sentant mon excitation monter à nouveau. « Tu ferais mieux de croire que oui, » je lui ai répondu, mon chibre se dressant à nouveau. Elle a ri, se mettant à cheval sur moi. « Dans ce cas, prépare-toi à être baisé comme jamais auparavant, » elle a dit, avant de descendre sur ma queue, prête à me montrer à quel point elle pouvait être une cochonne.
À suivre…Je me suis perdu dans son regard, alors qu’elle se mettait à cheval sur moi. Ses mains ont saisi ma bite, la guidant vers son entrée déjà trempée. Elle a commencé à descendre lentement, me laissant savourer chaque centimètre de sa chatte chaude qui enveloppait mon chibre. Elle a commencé à onduler, ses seins rebondissant au rythme de ses mouvements. Je pouvais sentir son plaisir monter, ses gémissements devenant de plus en plus forts.
Je l’ai laissée prendre le contrôle, mes mains agrippant ses hanches. Elle a commencé à accélérer, sa chatte glissant le long de ma queue. Je pouvais sentir mes couilles se resserrer, mon orgasme approchant. Mais je ne voulais pas jouir tout de suite. Je voulais profiter de chaque seconde de ce moment.
Je l’ai soudainement retournée, la mettant sur le dos. Je l’ai pénétrée à nouveau, mes coups de rein devenant plus puissants. Je pouvais sentir sa chatte se resserrer autour de moi, ses gémissements devenant plus aigus. Je l’ai baisée sans relâche, mes mains explorant chaque courbe de son corps. Je pouvais sentir la sueur perler sur mon front, mon corps brûlant de désir.
Je l’ai mise en position de levrette, admirant son cul rond et ferme. J’ai doigté son anus, sentant sa rondelle se resserrer autour de mon doigt. Elle a gémi, poussant son cul contre moi. Je l’ai enculée, ma bite glissant dans son fion serré. Elle a crié de surprise, puis a gémis de plaisir alors que je commençais à la sodomiser. Je pouvais sentir mon orgasme approcher, mes couilles se resserrant.
Je me suis retiré, ne voulant pas jouir tout de suite. Je voulais la faire jouir encore et encore. Je l’ai allongée sur le dos, écartant ses jambes. Je me suis mis entre ses cuisses, guidant ma queue vers sa chatte mouillée. Je l’ai pénétrée lentement, nos regards se croisant. Je pouvais voir le désir brûler dans ses yeux, et je savais que j’allais la faire jouir encore et encore.
Je l’ai baisée lentement, savourant chaque coup de rein, chaque gémissement. Je pouvais sentir sa chatte se resserrer autour de ma queue, son plaisir augmentant. Je l’ai sentie jouir, ses cris remplissant la chambre. Je me suis retiré, aspergeant son corps et son visage de mon sperme chaud. Elle a gémi, sa main allant vers sa chatte, se caressant alors que je jouissais.
Je me suis allongé à côté d’elle, rassasié mais pas encore complètement satisfait. Je savais que la nuit était encore jeune, et que nous avions encore beaucoup de choses à explorer. Je me suis retourné vers elle, prêt à recommencer. Mais avant que je ne puisse dire un mot, elle a souri, ses mains se déplaçant vers ma bite encore dure. « Je crois que tu as encore un peu d’énergie en réserve, » elle a dit, un sourire coquin se dessinant sur ses lèvres.
Je lui ai souri en retour, sentant mon excitation monter à nouveau. « Tu as raison, » je lui ai répondu, mon chibre se dressant à nouveau. Elle a ri, se mettant à genoux devant moi. Elle a commencé à sucer ma bite, sa langue explorant chaque centimètre de ma queue. Je pouvais sentir ses lèvres autour de mon chibre, sa bouche m’apportant un plaisir intense.
Je l’ai laissée pomper ma queue, mes mains agrippant ses cheveux. Je pouvais sentir mon orgasme approcher, mes couilles se resserrant. Mais je ne voulais pas jouir dans sa bouche. Je voulais la sentir jouir encore une fois. Je l’ai soudainement soulevée, la mettant sur le lit. Je l’ai pénétrée à nouveau, mes coups de rein devenant plus puissants. Je pouvais sentir sa chatte se resserrer autour de moi, ses gémissements devenant plus aigus.
Je l’ai baisée sans relâche, mes mains explorant chaque courbe de son corps. Je pouvais sentir sa chatte