Je m’appelle Antoine, un conseiller financier de 53 ans, plutôt en chair et d’une taille moyenne. Depuis un moment, j’entretenais un fantasme, celui de passer une nuit torride avec une inconnue. Ce soir-là, je me suis rendu dans un restaurant chic et branché de la ville, espérant que l’occasion se présenterait.

En entrant, je l’ai vue. Elle était grande, brune, avec une poitrine généreuse et des fesses rebondies. Son air mystérieux et sensuel m’a immédiatement attiré. Je me suis installé au bar, commandant un verre de whisky pour me donner du courage. Je ne pouvais détacher mes yeux d’elle. Elle était vêtue d’une robe moulante qui mettait parfaitement en valeur ses courbes. Je pouvais deviner sa chatte humide à travers le tissu, m’imaginant déjà la doigter avec passion.

Elle m’a remarqué, ourlant ses lèvres d’un sourire en coin. Elle s’est approchée de moi, ses hanches se balançant avec une grâce féline. « Bonjour, » a-t-elle dit, sa voix suave comme du velours. « Je m’appelle Isabella. »

Je lui ai répondu, essayant de garder mon calme malgré l’excitation qui montait en moi. « Antoine, » ai-je dit, lui serrant la main. Ses doigts étaient doux et chauds, me donnant envie de sentir sa peau contre la mienne.

Nous avons passé la soirée à boire et à discuter, découvrant une attirance mutuelle. Ses yeux brillaient d’un désir sauvage, me donnant envie de la prendre sur place. Mais elle était patiente, me taquinant avec des mots et des gestes suggestifs. Elle m’a parlé de son intérêt pour le BDSM, me demandant si j’avais déjà exploré ce monde de plaisir et de douleur.

Je lui ai avoué mon manque d’expérience, mais mon désir d’apprendre. Elle a souri, ses yeux brillant d’une étincelle de plaisir. « Je peux t’initier, » a-t-elle dit, sa main effleurant ma cuisse. « Si tu es prêt à te soumettre à moi. »

Mon chibre a réagi instantanément, se dressant dans mon pantalon. J’étais excité et un peu nerveux, mais je savais que je voulais cette expérience. « Je suis prêt, » ai-je dit, mon cœur battant la chamade.

Elle m’a conduit dans une pièce privée à l’arrière du restaurant, remplie d’instruments de plaisir et de douleur. Je pouvais sentir l’odeur du cuir et de la sueur, me rappelant que j’étais sur le point de vivre une expérience intense.

« Déshabille-toi, » a-t-elle ordonné, sa voix ferme et autoritaire. J’ai obéi, retirant mes vêtements lentement, révélant mon corps nu et vulnérable. Ma bite était dure, pointant droit vers elle, mon désir évident.

Elle a souri, appréciant la vue. « Bien, » a-t-elle dit, se rapprochant de moi. « Maintenant, à genoux. »

J’ai obéi, me mettant à genoux devant elle. Elle a sorti sa queue en silicone, la faisant glisser entre mes lèvres. « Suce, » a-t-elle ordonné, et j’ai obéi, pompant sa queue avec avidité.

Elle a gémi de plaisir, ses mains dans mes cheveux, me guidant. « C’est bien, salope, » a-t-elle dit, sa voix rauque de désir. « Tu sais sucer une bite. »

Je pouvais sentir mon propre désir monter, ma bite palpitant de plaisir. Mais elle n’avait pas fini avec moi. « Maintenant, » a-t-elle dit, retirant sa queue de ma bouche, « il est temps de te faire enculer. »

Je me suis mis en position, à quatre pattes sur le lit, mon cul exposé et vulnérable. Elle a versé du lubrifiant sur ma rondelle, la frottant lentement, me préparant pour ce qui allait suivre.

Puis, elle a enfoncé sa queue dans mon fion, me faisant gémir de douleur et de plaisir. Elle a commencé à me baiser, ses coups de reins puissants et profonds. Je pouvais sentir chaque centimètre de sa queue dans mon cul, me remplissant et me dominant.

Je gémissais comme une chienne, mes mains agrippant les draps. Elle a ri, me traitant de cochonne, me disant à quel point j’aimais ça. Et elle avait raison. J’aimais chaque seconde, chaque coup de queue, chaque insulte.

Mais elle n’avait pas fini avec moi. « Maintenant, » a-t-elle dit, retirant sa queue de mon cul, « il est temps de te faire jouir. »

Elle m’a fait m’allonger sur le dos, mes jambes écartées. Elle a commencé à me branler, sa main experte glissant sur ma bite dure. Je pouvais sentir mon propre sperme monter, prêt à exploser.

« Jouis, » a-t-elle ordonné, et j’ai obéi, mon sperme giclant sur mon ventre, mes cris de plaisir remplissant la pièce.

Elle a souri, satisfaite de son travail. « Bien, » a-t-elle dit, essuyant sa main sur ma poitrine. « Mais nous ne faisons que commencer. »

Et avec ces mots, elle a commencé à explorer d’autres façons de me faire jouir, me poussant toujours plus loin dans mes limites. Mais ça, c’est une autre histoire.Isabella a continué à me taquiner et à me tourmenter, me faisant explorer les profondeurs de mon désir et de ma soumission. Elle a sorti une paire de menottes en cuir, me les fixant aux poignets avant de les attacher à la tête de lit. Je me suis retrouvé allongé sur le dos, les jambes écartées, complètement vulnérable et à sa merci.

« Maintenant, » a-t-elle dit, un sourire malicieux sur les lèvres, « tu es à moi. »

Elle a commencé à me caresser, ses doigts glissant le long de ma poitrine, pinçant mes tétons. Je gémissais de plaisir, mon chibre se dressant à nouveau. Elle a ri, sa main glissant le long de mon ventre, atteignant finalement ma bite dure.

« Tu es si excité, » a-t-elle dit, sa main commençant à me branler. « Tu aimes être à ma merci, n’est-ce pas ? »

J’ai gémis en réponse, incapable de former des mots. Elle a ri à nouveau, sa main glissant de ma bite à mes couilles, les massant doucement.

Puis, elle a commencé à me sucer, sa bouche chaude et humide engloutissant ma queue. Je pouvais sentir sa langue glisser le long de ma tige, sa gorge se contractant autour de mon gland. Je gémissais de plaisir, mes mains tirant contre les menottes, désespérées de toucher sa peau.

Mais elle avait d’autres plans. Elle s’est relevée, retirant sa robe, révélant son corps magnifique. Ses seins étaient fermes et ronds, ses tétons durs pointant vers moi. Sa chatte était rasée, lisse et mouillée, m’invitant à la goûter.

Elle s’est mise à califourchon sur moi, sa chatte juste au-dessus de mon visage. « Lèche-moi, » a-t-elle ordonné, et j’ai obéi. J’ai enfoncé ma langue dans sa chatte, la goûtant, la sentant. Elle était chaude et humide, son jus sucré coulant dans ma bouche.

Elle a gémi de plaisir, se frottant contre mon visage. « C’est bien, salope, » a-t-elle dit, ses mains dans mes cheveux, me guidant. « Tu sais lécher une chatte. »

Je pouvais sentir mon propre désir monter, ma bite palpitant de plaisir. Mais elle n’avait pas fini avec moi. Elle s’est relevée, se retournant pour s’asseoir sur ma bite. Je pouvais sentir sa chatte chaude et humide m’englober, me serrant.

« Baise-moi, » a-t-elle ordonné, et j’ai obéi. Je l’ai baisée, mes coups de reins puissants et profonds. Je pouvais sentir chaque centimètre de ma bite dans sa chatte, la remplissant et la dominant.

Elle a gémi de plaisir, ses seins se balançant au rythme de nos mouvements. « C’est bon, » a-t-elle crié, « encore, encore ! »

Je pouvais sentir son orgasme monter, sa chatte se serrant autour de ma bite. « Jouis, » ai-je ordonné, et elle a obéi, son corps se convulsant de plaisir, ses cris remplissant la pièce.

Mais elle n’avait pas fini avec moi. « Maintenant, » a-t-elle dit, se relevant, « il est temps de te faire enculer à nouveau. »

Elle m’a fait me mettre à quatre pattes, mon cul exposé et vulnérable. Elle a enfoncé sa queue en silicone dans mon fion, me faisant gémir de douleur et de plaisir. Elle a commencé à me baiser, ses coups de reins puissants et profonds.

« Tu es ma chienne, » a-t-elle dit, me traitant de salope, de cochonne. « Tu aimes ça, n’est-ce pas ? »

J’ai gémis en réponse, incapable de nier le plaisir que je ressentais. Elle a ri, continuant à me baiser, sa queue allant et venant dans mon fion.

Puis, elle a retiré sa queue, me laissant un instant de répit. Mais elle n’avait pas fini avec moi. « Maintenant, » a-t-elle dit, se mettant à genoux devant moi, « il est temps de sucer ma queue. »

Je l’ai pompée, ma bouche glissant le long de sa tige. Je pouvais sentir son sperme monter, prêt à exploser.

« Jouis, » ai-t-elle ordonné, et j’ai obéi

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