Je m’appelle Yann, un homme métisse de 47 ans, musclé et de taille moyenne. Je suis divorcé et je travaille comme assistant maternel. Je suis hétérosexuel et j’ai un faible pour les femmes aux courbes généreuses. Je ne vais pas vous mentir, j’ai une bite de taille moyenne, légèrement courbée vers le haut et non circoncise.

Un soir, je me suis retrouvé dans une maison de vacances avec une femme qui m’attirait énormément. Elle avait une poitrine généreuse, des fesses rebondies et une peau lisse. Je ne pouvais m’empêcher de imaginer sa chatte serrée et humide, avec des lèvres internes proéminentes et une couleur rose foncé.

Nous avons commencé la soirée avec un verre de vin, assis sur le canapé en face de la cheminée. Elle portait une robe courte qui mettait en valeur ses jambes élancées et ses courbes pulpeuses. Je pouvais voir son décolleté généreux et je sentais mon chibre commencer à se durcir dans mon pantalon.

Elle a remarqué mon regard insistant et a souri en coin. « Tu aimes ce que tu vois, Yann ? » a-t-elle demandé avec un sourire coquin. Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire en retour. « Oui, je dois dire que tu es très belle, » ai-je répondu honnêtement.

Elle s’est levée et a commencé à se diriger vers la chambre, en balançant ses hanches d’une manière provocante. Je l’ai suivie, les yeux rivés sur son cul rebondi. Elle s’est arrêtée devant la porte de la chambre et s’est retournée vers moi. « Tu sais ce que je veux, Yann ? » a-t-elle demandé avec un regard intense.

Je me suis approché d’elle et j’ai posé mes mains sur ses hanches. « Je pense que je peux deviner, » ai-je répondu avec un sourire en coin. Elle a souri en retour et a commencé à embrasser mon cou, suçant légèrement ma peau.

Je me suis laissé emporter par le moment, glissant mes mains sur son corps et caressant ses seins généreux. Elle a gémi de plaisir et a commencé à se frotter contre moi, sentant mon chibre dur à travers mon pantalon.

Je l’ai soulevée et l’ai portée jusqu’au lit, la déposant délicatement dessus. J’ai enlevé mes vêtements et je me suis allongé à côté d’elle, caressant son corps avec mes mains et mes lèvres. Elle a gémis de plaisir, se tordant sous mes caresses.

J’ai commencé à embrasser ses seins, suçant et mordillant ses mamelons sensibles. Elle a crié de plaisir et a commencé à se frotter contre moi, cherchant plus de contact. Je me suis déplacé vers le bas, embrassant son ventre et ses hanches, jusqu’à ce que j’atteigne enfin sa chatte mouillée.

J’ai écarté ses lèvres avec mes doigts et j’ai commencé à lécher sa chatte, goûtant sa mouille sucrée. Elle a crié de plaisir et a commencé à se tordre sous mes coups de langue. Je pouvais sentir son clitoris durcir sous ma langue et j’ai commencé à le sucer doucement, faisant trembler son corps de plaisir.

Je l’ai doigtée doucement, ajoutant de plus en plus de doigts à mesure qu’elle se détendait. Elle était tellement mouillée et excitée que je pouvais entendre le son de mes doigts qui glissaient en elle.

J’ai continué à la doigter et à la lécher, la faisant gémir et crier de plaisir. Elle a attrapé mes cheveux et a tiré dessus, me forçant à la regarder. « Baise-moi, Yann, » a-t-elle crié. « Je veux sentir ta bite en moi. »

Je ne pouvais pas résister à son appel. Je me suis positionné entre ses jambes et j’ai pénétré sa chatte serrée avec ma queue dure. Elle a crié de plaisir et a commencé à se déhancher pour rencontrer mes coups de reins. Je pouvais sentirJe pouvais sentir sa chatte chaude et mouillée se serrer autour de ma queue alors que je commençais à la baiser lentement. Elle a gémi de plaisir et a commencé à se déhancher sous moi, cherchant plus de contact. Je pouvais sentir ses seins se frotter contre ma poitrine, sa peau lisse et chaude sous mes mains.

« Tu aimes ça, salope ? » ai-je demandé, en la regardant droit dans les yeux. Elle a souri en coin et a hoché la tête. « Oui, j’adore ta bite en moi, » a-t-elle répondu avec un sourire coquin.

J’ai commencé à accélérer le rythme, la baisant de plus en plus fort. Elle a crié de plaisir et a commencé à se tordre sous moi, sa chatte se serrant autour de ma queue. Je pouvais sentir sa mouille couler sur mes couilles, me faisant encore plus Bandre.

Je l’ai retournée sur le ventre et je l’ai soulevée pour qu’elle soit à genoux, sa croupe en l’air. J’ai écarté ses fesses et j’ai admiré sa rondelle rose et serrée. Je l’ai doigtée doucement, sentant son anus se serrer autour de mon doigt. Elle a gémis de plaisir et a commencé à se frotter contre mon doigt.

« Tu veux que je t’encule, putain de chienne ? » ai-je demandé, en mettant un peu plus de pression sur son anus. Elle a hoché la tête et a crié « Oui, s’il te plaît, Yann ! Baise-moi le cul ! »

J’ai craché sur ma main et j’ai lubrifié mon chibre dur. Je me suis positionné derrière elle et j’ai commencé à pousser doucement mon chibre dans son cul serré. Elle a crié de plaisir et de douleur alors que je pénétrais son anus pour la première fois.

J’ai commencé à l’enculer lentement, sentant son cul se serrer autour de ma queue. Elle a crié de plaisir et a commencé à se déhancher pour rencontrer mes coups de reins. Je pouvais sentir sa chatte mouillée et chaude contre mes couilles, me faisant encore plus bander.

Je l’ai prise en levrette, lui donnant des coups de reins puissants. Elle a crié de plaisir et a commencé à jouir, sa chatte se serrant autour de ma queue. Je pouvais sentir ses murs vaginaux se contracter autour de ma queue, me faisant presque jouir moi aussi.

J’ai continué à l’enculer, lui donnant des coups de reins profonds et rapides. Elle a crié de plaisir et a joui à plusieurs reprises, sa chatte inondée de mouille. Je pouvais sentir ma propre jouissance monter en moi, mes couilles se serrant.

« Je vais jouir, putain de chienne ! » ai-je crié, en lui donnant des coups de reins encore plus forts. Elle a crié de plaisir et a joui une dernière fois, sa chatte se serrant autour de ma queue. Je me suis vidé en elle, mon sperme chaud remplissant son cul.

Je me suis effondré sur le lit à côté d’elle, essoufflé et couvert de sueur. Elle a souri en coin et a tendu la main pour caresser ma queue encore dure. « Tu en veux encore, chaudasse ? » ai-je demandé avec un sourire en coin. Elle a hoché la tête et a commencé à pomper ma queue avec sa main, me faisant bander à nouveau.

Je l’ai allongée sur le dos et je me suis agenouillé entre ses jambes écartées. Je me suis penché en avant et j’ai commencé à lécher sa chatte mouillée, goûtant sa mouille sucrée. Elle a crié de plaisir et a commencé à se frotter contre moi, cherchant plus de contact.

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