Je m’appelle Diego, un architecte asiatique de 39 ans, marié, de taille moyenne et de corpulence petite. J’ai un fantasme bien particulier : les femmes cougars coquines. Ce soir-là, alors que je travaillais tard dans la cuisine de mon appartement, j’entendis un léger coup à ma porte. C’était ma voisine d’à côté, une femme d’une cinquantaine d’années, qui me demandait de l’aide pour une étagère défaillante. Dès que je l’ai vue, mon cœur s’est emballé. Elle était incroyablement attirante, avec ses formes généreuses, sa poitrine ferme et ronde, ses fesses rebondies et son regard de braise. J’acceptai volontiers de l’aider et me retrouvai bientôt à réparer l’étagère dans sa cuisine.
Alors que je travaillais, je sentis son regard insistant sur moi. Je pouvais sentir son désir, et ça m’excitait. Elle s’approcha de moi, me regarda dans les yeux et me chuchota des mots coquins à l’oreille. « Tu sais, Diego, j’ai vu comment tu me regardais. Je te plais, n’est-ce pas ? » Je ne pouvais pas nier. Elle m’attirait comme un aimant. Je me sentais comme un adolescent face à sa première expérience sexuelle, le cœur battant la chamade, la bite dure dans mon pantalon.
« Tu as une belle queue, Diego », me susurra-t-elle à l’oreille, alors qu’elle passait sa main sur mon pantalon, caressant mon membre durci. « Je suis sûre que tu sais t’en servir. » Je ne pouvais pas croire ce qui se passait. Ma voisine, cette femme magnifique et expérimentée, me draguait ouvertement. Et j’adorais ça. Je me sentais comme une salope, une chienne en chaleur, prêt à me jeter sur elle et à la baiser sauvagement.
Elle m’attira vers elle et m’embrassa passionnément. Ses lèvres étaient douces et chaudes, sa langue explorant ma bouche avec une habileté incroyable. Je pouvais sentir sa main experte caresser ma bite à travers mon pantalon, me faisant gémir de plaisir. Elle me déboutonna mon pantalon, sortit ma queue et commença à me sucer avec une avidité incroyable. Sa bouche était chaude et humide, sa langue jouant avec mon gland, me faisant frissonner de plaisir.
Je la regardai, à genoux devant moi, ma bite dans sa bouche, et je me sentis comme le roi du monde. Cette femme magnifique, cette chaudasse expérimentée, était en train de me pomper comme une chienne en chaleur. Je passai mes mains dans ses cheveux, guidant ses mouvements, la faisant accélérer le rythme. Elle suçait et léchait ma queue comme une professionnelle, me faisant gémir de plaisir.
Je ne pouvais plus attendre. Je voulais la baiser, la sentir se contracter autour de ma queue. Je la soulevai, la portai jusqu’à la table de la cuisine et la couchai dessus. Je lui enlevai sa culotte, révélant sa chatte mouillée et invitante. Je plongeai ma tête entre ses jambes, léchant et suçant son clitoris, la faisant gémir de plaisir. Je pouvais sentir son excitation, sa mouille coulant sur ma langue, me rendant encore plus fou.
Je me relevai, positionnai ma queue à l’entrée de sa chatte et la pénétrai d’un coup sec. Elle criait de plaisir, ses mains agrippant mes épaules, ses jambes enroulées autour de ma taille. Je commençai à la baiser avec une intensité incroyable, mes couilles claquant contre son cul à chaque coup de reins. Je pouvais sentir sa chatte se contracter autour de ma queue, me serrant comme un étau, me faisant gémir de plaisir.
Je la retournai, la mettant en levrette sur la table, et recommençai à la baiser. Je pouvais voir sa chatte mouillée et ouverte, accueillant ma queue avec avidité. Je pouvais sentir ses fesses rebondies contre mon ventre, me rendant encore plus fou. Je commençai à lui doigter le cul, la préparant pour une sodomie. Elle gémissait de plaisir, me suppliant de la prendre, de l’enculer.
Je sortis ma queue de sa chatte et la positionnai à l’entrée de son anus. Je poussai lentement, sentant son fion résister avant de céder, accueillant ma queue avec une chaleur incroyable
… à suivre.Je me suis arrêté un moment, savourant la sensation de son anus serré autour de ma queue. Elle haletait et gémissait, se tordant sous moi. « Tu aimes ça, salope ? », lui ai-je demandé, mon souffle chaud dans son oreille. « Tu aimes te faire enculer par un jeune mec ? » Elle a grogné, poussant son cul contre moi. « Oui, Diego, baise-moi. Baise-moi le cul comme une chienne. »
J’ai commencé à bouger, lentement au début, puis de plus en plus vite. Sa rondelle était si serrée, si chaude autour de ma queue. Je pouvais sentir ses muscles se contracter, essayant de s’habituer à ma taille. Je pouvais entendre ses gémissements de plaisir et de douleur, ses mains crispées sur le bord de la table. Je me suis tenu à ses hanches, la tirant vers moi à chaque coup de boutoir, ma queue disparaissant dans son cul.
Je pouvais sentir mon orgasme monter, mes couilles se serrer. Je pouvais sentir la sueur perler sur mon front, ma respiration s’accélérer. Je pouvais sentir sa chatte trempée, sa mouille coulant sur mes couilles. Je pouvais sentir ses seins qui ballottaient sous elle, ses tétons durs frottant contre la table. Je pouvais sentir son cul rebondi, ses joues claquant contre mon ventre à chaque coup de rein.
Je l’ai retournée, la mettant sur le dos sur la table. J’ai soulevé ses jambes, les écartant largement, exposant sa chatte mouillée et son anus dilaté. Je me suis penché, léchant ses lèvres gonflées, suçant son clitoris durci. Elle a crié, ses mains dans mes cheveux, me poussant contre elle. « Tu es une vraie salope, tu sais ça ? », lui ai-je dit, mon souffle chaud contre sa chatte. « Une vraie chienne en chaleur. »
Je me suis relevé, positionnant ma queue à l’entrée de sa chatte. Je l’ai pénétrée d’un coup sec, la faisant crier de plaisir. Je l’ai baisée avec une intensité incroyable, mes couilles claquant contre son cul à chaque coup de rein. Je pouvais sentir sa chatte se contracter autour de ma queue, essayant de m’aspirer plus profondément. Je pouvais sentir son corps se tendre, ses seins rebondir, ses jambes enrouler autour de ma taille.
Elle a crié, son corps se contractant autour de moi, sa chatte inondée de mouille. « Je jouis, Diego ! Je jouis ! », a-t-elle crié, ses ongles creusant dans mon dos. Je pouvais sentir ses spasmes autour de ma queue, la serrent comme un étau. Je pouvais sentir son orgasme, puissant et intense, la faisant trembler et gémir.
Je n’ai pas pu résister plus longtemps. Je me suis retiré, me branlant vigoureusement. « Je vais jouir, salope », lui ai-je dit, mon souffle saccadé. « Je vais jouir sur ton visage de chienne. » Elle a ouvert la bouche, sa langue sortie, attendant mon sperme. J’ai grogné, sentant mon orgasme arriver. J’ai éjaculé, mon sperme giclant sur son visage, sa langue, ses seins. Elle a souri, léchant ses lèvres, savourant mon foutre.
Je me suis effondré sur elle, essoufflé et transpirant. Elle m’a serré dans ses bras, me caressant les cheveux. « Tu es un vrai étalon, Diego », m’a-t-elle chuchoté, sa voix douce et chaude. « Tu es exactement ce dont j’avais besoin. » Je l’ai embrassée, sentant son corps chaud et mouillé contre le mien. Je savais que ce n’était pas fini, que ce n’était que le début de notre relation coquine. Je savais que j’allais la baiser encore et encore, que j’allais la traiter comme une salope, une chienne en chaleur, une vraie cougar coquine. Et j’adorais ça