Je m’appelle Charlie, une jeune illustratrice de 22 ans, d’origine latino, à la silhouette musclée et aux courbes généreuses. Mon quotidien est rythmé par mes dessins et ma vie de concubine, mais aujourd’hui, quelque chose d’inattendu se prépare. Un rendez-vous professionnel avec un client potentiel, un homme qui, dès notre première rencontre, a éveillé en moi une attirance irrésistible.

Assise en face de lui dans la salle de réunion, je ne peux m’empêcher de jouer avec mes cheveux, de croiser et décroiser les jambes, et de plonger mon regard dans le sien. Ses yeux reflètent une lueur d’intérêt, et je sens l’atmosphère devenir électrique. Je décide de pousser le jeu un peu plus loin. « Je vous propose de vous montrer mes croquis dans un endroit plus intime, » lui dis-je, un sourire en coin. Il accepte, et je le guide vers une pièce adjacente.

Une fois à l’écart des regards indiscrets, je me rapproche de lui, mes dessins à la main. Je peux sentir la chaleur de son corps, et je murmure à son oreille, « J’ai envie de vous. » Ses yeux se plongent dans les miens, et il répond à mon baiser avec passion. Ses mains se posent sur mes hanches, et je le pousse doucement contre le mur.

Nos mains se mettent à explorer nos corps respectifs, déboutonnant, dézippant, dévêtant. Je sens sa queue grossir contre moi, et je me retrouve rapidement nue face à lui. Il est magnifique, sa bite bien dressée, prête à être sucée, pompée. Je me mets à genoux devant lui, et je commence à le prendre en bouche, savourant chaque centimètre de son chibre.

Je le sens gémir de plaisir, et je me retrouve bientôt allongée sur une table, les jambes écartées. Il se penche sur moi, sa bouche trouvant rapidement ma chatte déjà mouillée. Ses doigts me pénètrent, me faisant gémir de plaisir, tandis que sa langue joue avec mon clitoris. Je suis en extase, mes mains agrippant la table tandis que mes hanches se soulèvent pour rencontrer ses mouvements.

Mais je veux plus. « Baise-moi, » lui ordonné-je, ma voix à peine plus qu’un gémissement. Il ne se fait pas prier, se relevant et me pénétrant profondément. Je gémis bruyamment, mes mains se crispant sur ses épaules tandis qu’il commence à me baiser, sa queue glissant en moi avec facilité.

Je peux sentir chaque centimètre de lui en moi, la chaleur de notre corps, la sueur perlant sur notre peau. Je suis une chienne en chaleur, une salope qui ne veut rien de plus que de se faire prendre, et il répond à mes désirs avec une passion dévorante. Je sens l’orgasme monter en moi, et je sais que je ne peux plus résister.

Mais soudain, il s’arrête. Il se retire de moi, et je me retrouve à le regarder, confuse et frustrée. « Pourquoi t’arrêtes-tu ? » lui demandé-je, ma voix à peine plus qu’un murmure. Il me regarde, un sourire en coin. « Patience, chérie, » me dit-il. « Nous avons toute la nuit devant nous. »

Et sur ces mots, il m’attrape par la taille et me retourne, me mettant en position de levrette. Je sens son chibre se presser contre mon anus, et je sais ce qu’il veut. Je suis nerveuse, mais excitée. « Vas-y, » lui dis-je, ma voix tremblante. « Encule-moi. » Mais pour savoir ce qui se passe ensuite, il faudra attendre la suite de mon histoire…Je sens son gland se presser contre mon anus, et je prends une profonde inspiration. « Vas-y, » lui dis-je, ma voix tremblante. « Encule-moi. » Il répond en pénétrant doucement mon fion, me laissant le temps de m’ajuster à sa queue épaisse. Je gémis de douleur et de plaisir, sentant chaque centimètre de lui envahir mon cul. Il commence à me baiser lentement, me laissant m’habituer à cette nouvelle sensation.

Mais bientôt, il accélère le rythme, me prenant avec force. Je gémis bruyamment, mes mains agrippant les draps tandis qu’il me pilonne. Je sens mon cul s’ouvrir pour lui, et je me retrouve à pousser mon cul contre lui, voulant plus de lui en moi. « Tu aimes ça, hein, salope ? » me dit-il, sa voix rauque. « Tu aimes te faire enculer. »

« Oui, » je gémis, mes mots à peine audibles. « J’aime ça. Encule-moi, s’il te plaît. » Il répond en me donnant une claque sur les fesses, me faisant crier de surprise et de plaisir. Il continue à me baiser, sa queue glissant en moi avec facilité maintenant. Je peux sentir mon orgasme monter en moi, et je sais que je ne vais pas pouvoir résister longtemps.

Mais il a d’autres plans. Il se retire de mon cul, me laissant un sentiment de vide. Je le regarde, confuse et frustrée. « Pourquoi t’arrêtes-tu ? » lui demandé-je, ma voix à peine plus qu’un murmure. Il me regarde, un sourire en coin. « Je ne t’ai pas encore donné la permission de jouir, chienne, » me dit-il. « Tu jouiras quand je te le dirai. »

Il me retourne, me mettant sur le dos. Il se penche sur moi, ses mains trouvant mes seins et les malaxant. Je gémis, sentant sa queue se presser contre ma chatte. « Tu veux que je te baise à nouveau, hein, salope ? » me dit-il, sa voix rauque. « Tu veux ma queue en toi ? »

« Oui, » je gémis, désespérée. « S’il te plaît, baise-moi. J’en peux plus. » Il répond en me pénétrant profondément, me faisant crier de plaisir. Il commence à me baiser avec force, sa queue glissant en moi avec facilité. Je peux sentir mon orgasme monter en moi, mais je sais que je ne peux pas encore jouir.

Il continue à me baiser, ses couilles claquant contre mes fesses. Je suis en extase, mes mains agrippant ses épaules tandis qu’il me prend avec force. Je peux sentir sa queue grossir en moi, et je sais qu’il est proche. « Je vais jouir, » il grogne, sa voix rauque. « Je vais remplir ta chatte de sperme. »

« Oui, » je crie, désespérée. « Jouis en moi, s’il te plaît. » Il répond en me donnant une dernière poussée, sa queue pulsant en moi tandis qu’il jouit. Je peux sentir son sperme chaud remplir ma chatte, et je sais que je ne peux plus résister.

« Jouis, » il me dit, sa voix rauque. « Jouis pour moi, salope. » Je réponds en jouissant, mon corps secoué de spasmes tandis que je crie de plaisir. Je peux sentir mon jus mélanger avec le sien, coulant de ma chatte.

Il se retire de moi, et je me retrouve à le regarder, épuisée et satisfaite. Il me regarde, un sourire en coin. « Tu es une vraie chienne, » me dit-il. « Mais tu es ma chienne. » Je réponds en souriant, me blottissant contre lui. « Je suis ta chienne, » je murmure, sentant mes yeux se fermer. « Je serai toujours ta chienne. »

Et sur ces mots, je m’endors, épuisée mais heureuse. Je sais que cette nuit ne sera pas la dernière, et je me réjouis déjà de notre prochaine rencontre. Je suis une chienne, une salope, une chaudasse. Mais je suis sa chienne, sa salope, sa chaudasse. Et je ne voudrais rien de plus

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