Je m’appelle Paul, un courtier en assurances d’origine asiatique, marié et hétérosexuel. J’ai 34 ans, une stature plutôt petite et une corpulence ronde. Mon pénis est de taille moyenne, légèrement courbé vers le haut et circoncis. Depuis longtemps, je nourris un fantasme secret, celui de vivre des aventures coquines dans des lieux insolites et de m’adonner à l’exhibitionnisme.
Un soir, après une séance d’entraînement dans une salle de sport, je me retrouve seul avec une femme qui attise mon désir. Elle a des fesses rebondies magnifiques et une poitrine moyenne mais ferme, avec des mamelons proéminents et des aréoles foncées. Elle aussi est mariée, mais je peux sentir le désir dans son regard, un désir partagé pour une nuit coquine et passionnée dans un lieu public.
Je la regarde, l’admirant ouvertement, laissant mon regard se promener sur ses courbes généreuses. Je peux sentir mon chibre grossir dans mon pantalon, réagissant à la vue de cette chaudasse. Je me rapproche d’elle, sentant l’excitation monter en moi. Je sais que je dois faire le premier pas, la séduire avec mes mots et mes gestes.
« Tu es magnifique », lui dis-je, ma voix rauque trahissant mon désir. Je vois un frisson la parcourir, ses yeux se posant sur moi avec une curiosité nouvelle. Je peux sentir l’attraction entre nous, aussi palpable qu’un courant électrique.
Je pose ma main sur sa hanche, laissant mes doigts effleurer sa peau douce. Je la vois frissonner à nouveau, mais elle ne se dérobe pas à mon toucher. Je sens mon excitation grandir, ma queue devenant dure comme de la pierre dans mon pantalon. Je sais qu’elle peut voir mon érection, mais elle ne dit rien, se contentant de me regarder avec des yeux brûlants de désir.
« Tu veux vraiment le faire ici ? », demande-t-elle, sa voix à peine plus qu’un murmure. Je peux entendre la nervosité dans sa voix, mais aussi l’excitation. Je sais qu’elle veut la même chose que moi, une nuit de plaisir inoubliable dans cette salle de sport vide.
« Oui, je veux te baiser ici », répondis-je, ma voix ferme et assurée. Je vois un sourire coquin se dessiner sur ses lèvres, et elle hoche la tête en signe d’approbation. Je peux sentir la chaleur de son corps, la mouille de sa chatte à travers son pantalon de sport. Je sais qu’elle est excitée, prête à se laisser aller à ses désirs.
Je la pousse doucement contre le mur, mes mains explorant son corps. Je peux sentir ses seins fermes sous mon toucher, ses mamelons durcissant à travers son haut de sport. Je descends ma main le long de son ventre, sentant ses muscles se contracter sous mes doigts. Je glisse ma main dans son pantalon, trouvant sa chatte chaude et mouillée.
« Tu es tellement excitée », murmurais-je à son oreille, sentant son corps trembler sous mon toucher. Je glisse un doigt dans sa chatte, sentant ses muscles se contracter autour de moi. Je commence à la doigter lentement, sentant sa mouille couler sur ma main. Elle gémit, sa tête rejetée en arrière, ses yeux fermés.
Je sais que je l’ai, qu’elle est à moi pour la nuit. Je continue à la doigter, la faisant gémir et trembler sous mon toucher. Je peux sentir mon propre désir grandir, ma bite dure et pulsante dans mon pantalon. Je sais que je veux plus, je veux la baiser, la sentir crier mon nom alors que je la remplis de mon chibre.
Mais pour l’instant, je me contente de la doigter, la laissant se tordre de plaisir sous mon toucher. Je sais que la nuit sera longue, et je compte bien en profiter au maximum. Je la regarde, les yeux pleins de désir, sachant que la meilleure partie de la nuit est encore à venir.
A suivre…Je continue à la doigter, augmentant le rythme alors que ses gémissements deviennent plus forts. Je peux sentir sa chatte se serrer autour de mes doigts, sa mouille coulant sur ma main. Je sais qu’elle est prête, qu’elle a besoin de plus.
« Tu veux ma bite, n’est-ce pas ? », lui dis-je, ma voix rauque de désir. Elle hoche la tête, incapable de parler, ses yeux suppliant pour plus. Je retire ma main de son pantalon, la portant à ma bouche pour goûter sa mouille. Elle gémit en voyant ça, son corps tremblant de désir.
Je déboutonne mon pantalon, libérant mon chibre dur et pulsant. Elle regarde ma queue avec avidité, léchant ses lèvres en anticipation. Je la pousse à genoux, lui ordonnant de sucer ma bite. Elle obéit sans hésiter, prenant ma queue dans sa bouche chaude et humide.
Je gémis de plaisir alors qu’elle commence à me pomper, sa bouche glissant le long de ma tige. Je peux sentir ses lèvres autour de ma bite, sa langue jouant avec mon gland. Je mets ma main sur sa tête, guidant ses mouvements alors qu’elle me suce avec enthousiasme.
Après quelques minutes, je la fais se lever, la poussant contre le mur. Je descends son pantalon, révélant son cul rond et ferme. Je lui donne une claque sur les fesses, la faisant gémir de surprise. Je peux voir sa chatte mouillée, prête à être baisée.
Je la pénètre d’un coup sec, la faisant crier de plaisir. Je commence à la baiser, mes coups de rein puissants et réguliers. Je peux sentir sa chatte chaude et serrée autour de ma bite, le plaisir montant en moi. Je la baise sans retenue, mes mains agrippant ses hanches alors que je la prends en levrette.
Je peux sentir mes couilles se resserrer, mon orgasme approchant. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps, mais je veux la faire jouir avant. Je glisse ma main entre ses jambes, trouvant son clitoris gonflé. Je le frotte doucement, sentant son corps trembler sous mon toucher.
Elle crie mon nom, son corps se contractant autour de ma bite alors qu’elle jouit. Je peux sentir sa chatte se serrer autour de ma queue, la poussant par-dessus bord. Je jouis à mon tour, mon sperme chaud remplissant sa chatte.
Je me retire d’elle, laissant ma bite sortir de sa chatte avec un bruit mouillé. Je peux voir mon sperme couler de sa chatte, un spectacle érotique qui me fait bander à nouveau. Je sais que je veux plus, que je ne suis pas encore satisfait.
« Tourne-toi », lui dis-je, ma voix autoritaire. Elle obéit, se tournant pour me montrer son cul. Je peux voir son anus serré, invitant. Je sais ce que je veux faire.
Je prends ma bite dans ma main, la guidant vers son anus. Je la pénètre lentement, sentant la résistance de son fion. Elle gémit, mais ne me demande pas d’arrêter. Je continue à pousser, sentant mon chibre glisser dans son cul serré.
Une fois complètement en elle, je commence à la baiser lentement, lui laissant le temps de s’habituer à ma bite dans son cul. Mais bientôt, je commence à augmenter le rythme, la baisant avec des coups de rein puissants. Je peux entendre ses gémissements de plaisir et de douleur, l’excitant encore plus.
Je la baise sans retenue, mon chibre glissant dans son cul serré. Je peux sentir mon orgasme approchant, mon corps tendu de plaisir. Je sais que je vais jouir bientôt, remplissant son cul de mon sperme.
« Je vais jouir », lui dis-je, ma voix rauque de désir. Elle gémit en réponse, son corps se contractant autour de ma bite. Je jouis, mon sperme chaud remplissant son cul. Je peux sentir son anus se serrer autour de ma bite, le plaisir me submergeant.
Je me retire d’elle, laissant mon sperme couler de son cul. Je peux voir son trou dilaté, un spectacle érotique qui me fait bander à nouveau. Je sais que je veux plus, que je ne suis pas encore satisfait.
Mais pour l’instant, je me contente de la regarder, les yeux pleins de désir, sachant que la meilleure partie de la nuit est encore à venir. Je sais que cette chaudasse est mienne pour la nuit, prête à satisfaire tous mes désirs cochons. Et je compte bien en profiter au maximum.
A suivre