Je suis Ema, pilote d’avion, et je suis en plein dans mon fantasme le plus profond. Je me retrouve allongée sur un lit d’hôpital, vêtue de cette affreuse chemise d’hôpital qui ne cache rien de mon corps athlétique. Mon regard se pose sur le médecin de garde, un bel homme au charme indéniable. Je ressens une chaleur monter en moi, une excitation que je ne peux ignorer.
« Docteur », dis-je d’une voix douce et sensuelle, « je me sens un peu… nerveuse. » Je le regarde droit dans les yeux, laissant mes lèvres entrouvertes dans une invitation silencieuse.
Il s’approche de moi, son stéthoscope pendouillant sur sa poitrine musclée. Je peux voir le contour de sa bite à travers son pantalon, et je me mords la lèvre en imaginant ce que ça ferait de l’avoir en moi. Je suis une chaudasse, une salope, et je veux qu’il me traite comme telle.
Le docteur pose sa main sur mon genou, et je frissonne à son toucher. Il remonte lentement le long de ma cuisse, sa main chaude et ferme. Je sens mon corps réagir, ma chatte se mouiller, mes mamelons se dresser. Je suis excitée, prête à me faire baiser comme une chienne en chaleur.
« Je crois que je vais devoir vous examiner de plus près », dit-il, un sourire en coin. Il écarte mes jambes, son regard fixé sur ma chatte. Je suis complètement à sa merci, et j’adore ça.
Il commence à me doigter, ses doigts habiles explorant chaque recoin de ma chatte détrempée. Je gémis de plaisir, mes seins se soulevant et s’abaissant à chaque respiration. Je veux plus, j’en ai besoin.
« Baise-moi », je lui dis, « Je veux ta queue en moi. » Je suis une cochonne, je sais, mais je ne peux pas m’en empêcher. Je veux sentir sa bite dure me remplir, me faire jouir.
Il ne se fait pas prier. Il sort sa queue, grosse et dure, et la frotte contre ma chatte. Je suis trempée, prête à être enculée. Il me pénètre, et je crie de plaisir. Il me baise sans retenue, sa queue me remplissant complètement. Je me sens comme une vraie salope, et j’adore ça.
Il me fait changer de position, me mettant à genoux sur le lit. Il me prend en levrette, ses couilles claquant contre mes fesses à chaque coup de reins. Je me sens comme une chienne, et je gémis de plaisir. Il me doigte le cul, et je me sens prête à être sodomisée.
« Encule-moi », je lui dis, « Je veux sentir ta bite dans mon cul. » Je suis une vraie dépravée, je sais, mais je ne peux pas m’en empêcher. Je veux tout.
Il sort sa queue de ma chatte et la place contre mon anus. Il pousse lentement, et je sens ma rondelle s’ouvrir pour le laisser entrer. La douleur est intense, mais elle est vite remplacée par un plaisir indescriptible. Il me sodomise, sa queue allant et venant dans mon cul. Je jouis, gémissant comme une folle.
Mais c’est loin d’être fini. Il me retourne, me mettant sur le dos, et me prend en missionnaire. Sa queue entre et sort de ma chatte, et je peux sentir son foutre prêt à jaillir. Je veux le sentir, je veux qu’il me remplisse de son sperme.
« Je vais jouir », il grogne, et je peux voir le plaisir dans ses yeux. Il se retire et éjacule sur mon corps, son sperme chaud coulant sur mes seins et mon ventre. Je suis couverte de son foutre, et je me sens comme une vraie salope.
Mais la nuit est loin d’être finie. Il y a tant de choses que je veux essayer, tant de fantasmes à réaliser. Je suis prête à tout, prête à être sa chienne, sa salope. Et je sais que je vais adorer chaque minute de ce qui va suivre.
À suivre…Je me sens épuisée, mais mon corps en redemande. Le docteur, cet homme viril et séduisant, a éveillé en moi un désir insatiable. Je me sens comme une vraie chienne en chaleur, prête à me faire prendre dans toutes les positions possibles.
« Je veux plus », je lui dis, mon regard plongé dans le sien. « Je veux te sucer, te pomper jusqu’à ce que tu n’en puisses plus. » Je me mets à genoux devant lui, ma main entourant son chibre encore dur. Je commence à le branler, ma main glissant le long de sa queue. Je le regarde droit dans les yeux, ma bouche entrouverte, prête à le prendre en bouche.
« Tu es une vraie salope, Ema », dit-il, un sourire en coin. Il me tient la tête, me forçant à prendre sa bite dans ma bouche. Je le suce avec avidité, ma langue jouant avec son gland. Je peux goûter mon propre jus sur sa queue, et ça m’excite encore plus. Je suis une chaude cochonne, et j’adore ça.
Il me tire les cheveux, me forçant à prendre sa queue encore plus profondément. Je sens sa bite toucher le fond de ma gorge, et je gémis de plaisir. Je suis à sa merci, et j’adore ça. Il me baise la bouche, sa queue allant et venant. Je peux sentir son foutre prêt à jaillir, et je veux tout avaler.
Mais il a d’autres idées en tête. Il me retire sa bite de la bouche et me met sur le ventre, mon cul en l’air. Je sens sa langue explorer mon fion, et je gémis de plaisir. Il me doigte le cul, sa langue continuant à jouer avec mon anus. Je suis trempée, prête à être enculée encore une fois.
« Encule-moi », je lui dis, « Je veux sentir ta bite dans mon cul. » Je suis une vraie dépravée, je sais, mais je ne peux pas m’en empêcher. Je veux tout.
Il me pénètre à nouveau, sa bite glissant facilement dans mon cul déjà dilaté. Il me baise avec force, sa queue allant et venant dans mon fion. Je sens une douleur intense, mais elle est vite remplacée par un plaisir indescriptible. Je jouis, criant de plaisir.
Il me retourne, me mettant sur le dos, les jambes écartées. Il me pénètre à nouveau, sa bite entrant et sortant de ma chatte détrempée. Je peux sentir son foutre prêt à jaillir, et je veux tout.
« Je vais jouir », il grogne, et je peux voir le plaisir dans ses yeux. Il se retire et éjacule sur mon corps, son sperme chaud coulant sur mes seins et mon ventre. Je suis couverte de son foutre, et je me sens comme une vraie salope.
Mais la nuit est loin d’être finie. Il me prend dans toutes les positions possibles, me faisant jouir encore et encore. Je suis sa chienne, sa salope, et j’adore ça. Je sens sa bite dure dans ma bouche, dans ma chatte, dans mon cul. Je jouis, criant de plaisir, mon corps secoué de spasmes.
Enfin, épuisés, nous nous effondrons sur le lit. Je me blottis contre lui, ma tête sur sa poitrine. Je peux sentir son coeur battre, et je me sens en sécurité. Je suis une pilote d’avion, une femme forte et indépendante, mais dans ses bras, je me sens comme une femme. Une femme désirée, aimée, respectée.
Je m’endors, mon corps encore tremblant de plaisir. Je sais que demain, je reprendrai les commandes de mon avion, prête à affronter le monde. Mais pour l’instant, je suis juste Ema, une femme comblée, heureuse, amoureuse.
Et c’est tout ce qui compte.
Fin